Nous ne pouvons pas vivre sans l’eau, sans l’air, sans les espèces végétales et animales... le tout est nécessaire à chaque partie de cette unité cosmique à la fois unité et diversité.

Notre défi se révèle donc moins climatique qu’éthique si nous voulons laisser une planète vivable à nos enfants

Sans une conscience

éthique comment faire évoluer les systèmes économiques et

financiers ?

Mais la rapacité humaine a investi dans la recherche des profits et des richesses extérieures plutôt que de s’appliquer à l’amour du prochain et au service de tous les êtres vivants


Dans un voyage ce n'est pas donc pas la destination qui compte mais le chemin parcouru, les rencontres, et les détours parfois...


De même, la retraite n’est pas le but d’une vie !

trimé toute sa vie  pour amasser un petit matelas

pour ses vieux jours, c’est souvent remettre à 

plus trop tard ce que nous pourrions faire

aujourd’hui et prendre le risque d’abandonner ses rêves, de ne pas voir ses enfants grandir...


Plus que jamais, un nouveau regard sur le sens

à donner à notre vie et sur notre vision du

cosmos est nécessaire pour relever le défi d’une

mutation qui affrontera la catastrophe annoncée




Inutile de faire l’autruche,

nous allons tous mourir !

notre mort n’est pas une option,

c’est une certitude !

peut-être même la seule...

Jésus parle de la fin des Temps pour nous faire réfléchir au sens de notre vie et nous rappeler que notre temps sur terre est limité !


Ne le gaspillons pas ...

Cette responsabilité se ressent dans l’ECOLOGIE (de oïcos : maison) et

logos (connaissance)

mais ne se résume pas à la science de l’environnement  ni à la question

climatique; elle s’étend à l’ensemble

du monde vivant

et donc à la

responsabilité

de chacun

dans notre

maison

commune.

La folle espérance que Jésus t’ offre, n’est pas de savoir si la vie a un sens - elle

en a un dès l’instant où tu l’as rencontré -  c’est de donner un sens à ta vie sur

terre , ici, maintement, sans attendre un au-delà en mode la carotte ou le bâton.


Prépare l’Avent, Dieu s’occupe de l’après !


Ce n'est pas tant ce que nous croyons, mais le bien que nous faisons qui nous sauve et l'amour de chaque ‘‘homme’’ pour tous les autres hommes qui ne sont que d'autres lui-même.

Ce  n’est pas en cherchant le bonheur, qu’on le trouve, c’est en le donnant...


Rendre service, être «présent» pour l’autre, contribue au bien-être de celui qui se montre généreux et pas seulement à ceux qui en bénéficient.


L’implication dans la vie publique de personnes handicapées (généralement assistées) a démontré combien

l’opportunité, pour elles, de s’investir à leur tour pour travailler, donner aux autres, pouvait les transformer :  elles y ont  gagné en estime de soi et cette contribution les a aider à mieux se prendre en charge elles-mêmes.

Veux-tu être heureux ? Donne du bonheur.

Antoine de Saint-Exupéry

‘’Tout travail travaille à faire

un homme autant qu’une chose’’    Emmanuel Mounier

À vouloir tout transformer en objets et en marchandises (jusqu’à commercialiser les organes humains) nous avons transformer notre monde en supermarché qui prétend que tout s’achète et tout se vend,  et rejeter Dieu comme une hypothèse inutile...

Aucun homme n’est une île, un tout, complet en soi ; tout homme est un fragment du continent, une partie de l’ensemble ... la mortde tout homme me diminue, parce que j’appartiens au genre humain ; aussi n’envoie jamais demander pour qui sonne le glas : c’est pour toi qu’il sonne.    John Donne

MERCI (et pardon) aux talentueux humoristes auxquels j’emprunte les dessins qui ne sont pas responsables des textes des bulles et à tous ceux qui relaient ce Clin Dieu depuis...

oups ! quand on aime on ne compte pas...

pour s’inscrire ou se désinscrire : clindieu.com@gmail.com

le BONHEUR ?

ça commence là ...

CLIC sur l’enfant

pour revoir les

CLINDIEU précédents .

Il nous faut, en ce temps de l’Avent, essayer de lutter contre ce que nous pourrions appeler le… « Syndrome de l’édredon » ! … loin des différences qui nous inquiètent, des choix qui nous dérangent, des façons de vivre qui nous déroutent…

Loin, si possible, très loin des cris du monde…

L’avenir ne pourra se faire que les uns avec les autres

et pas les uns malgré les autres ou au détriment des autres

BIOMIMÉTISME


Les ressources de la création sont infinies si nous vivons en accord avec elle ; Dieu

a créé ... l’homme copie : le mimétisme est le principal mécanisme d’apprentissage chez l’être humain.

les abeilles messagères

de l’amour entre les fleurs...

La crise écologique est la crise d’une culture qui a perdu le sens de la sacralité du Cosmos parce qu’elle a perdu sa relation à Dieu  (Jean Zizioulas, théologien )

De même que nous ne sommes pas les maîtres du Temps parce que

nous l’avons découpé comme un saucisson ...

BIODIVERSITÉ

Déforestation, réchauffement climatique ou pollution, c’est surtout l’homme qui provoque l’extinction progressive de nombreuses espèces...


.

Au lieu de les faire disparaître et de lutter contre les processus naturels, il faut au contraire aider  à la diversité de la vie et au bon fonctionnement des régulations naturelles.

?

l’homme a besoin des autres

pour survivre : nous sommes tous interdépendants ...

Même les insectes, véritables auxiliaires bénévoles des jardiniers , effectuent un travail indispensable bien souvent méconnu, qui justifie de les protéger

Retrouvons les liens

que nous avons coupés

avec la nature,

avec l’autre,

avec nous-même...

la chauve-souris a inspiré : le radar, le coeur de la baleine : le

stimulateur

cardiaque et le

moustique : les

vaccins indolores.

etc, etc...

ça s’appelle le

biomimétisme !

Physique quantique oblige, avec la découverte du mode ondulatoire, nous découvrons  qu’il y a interrelation immédiate entre tous les

éléments du vivant et évidemment l’humain ;

comme disait Hubert Reeves : la moindre pensée

humaine a un effet jusque dans les étoiles les plus

éloignées ; ce qui signifierait que le sujet

peut modifier le résultat de l’expérience

Nous aurions tort dans notre confort, de nous moquer du malheur des autres…car nous sommes tous embarqués dans le même bateau !

‘nous avons pleinement exploité le capital matériel d’un monde

fini ; il nous faut désormais travaillé avec le capital spirituel qui

est infini. Parce que nous avons une capacité infinie à aimer, à

vivre ensemble en tant que frères et à pénétrer les mystères de

l’univers et du coeur de l’homme.’’ Miguel d'Escoto Brockmann

(Président de  l’Assemblée Générale des Nations Unies)

Dans la Bible, toute création émane de la Parole de Dieu (Dieu dit, et la lumière fut...) mais si notre Dieu est DIEU, Il n’est pas seulement le cosmos, Il est le «Tout autre» ! et en créant l’homme à son image il en a fait aussi un être spirituel :

Aurions-nous la faculter de  penser l’infini  si nous étions limités au fini ? Dès la Genèse, l’homme est «responsabilisé» ; il se voit confier un environnement dont il fait partie intégrante (Dieu prit l'homme, et le plaça dans le jardin d'Éden pour le cultiver et pour le garder.)

Nous, tout ce qu’on veut c’est être heureux.

Être heureux avant d’être vieux...

Il cherche donc sa raison d’être et la première de ses quêtes  est celle que chantait Balavoine :

L’homme a conscience de n’être pas un animal ordinaire. Il se dit même un être de raison, c’est pourquoi il recherche une raison à toute chose et veut donner du sens à sa vie.